020 (NBI/2024), Harjit Dhindsa
- Appealed
 
1. Le Tribunal a constaté qu'à la section VI de son formulaire de demande, le requérant a déclaré ne pas avoir demandé d'évaluation de gestion. En effet, il n'a pas joint de copie de sa demande d'évaluation de gestion à sa demande. Le dossier indiquait que le recours n'avait pas encore demandé d'évaluation de gestion de la décision dont il exigeait la suspension. 2. Le Tribunal a rappelé que les requêtes déposées en vertu des articles 2.2 du Statut du Tribunal du contentieux administratif et 13.1 du Statut du Tribunal du contentieux administratif Les règles de procédure...
Le recours a soutenu que la décision contestée était prima facie illégale pour deux motifs : La justification de la suppression de son poste était fausse et trompeuse. La MANUA avait créé une attente légale de renouvellement de contrat. Concernant le premier chagrin, le Tribunal a augmenté que le désaccord d'un fonctionnaire avec les motifs de la suppression du poste ne rendait pas la décision illégale. De plus, si les responsables de la MANUA auraient pu faire preuve de plus de transparence lorsque la précédente a demandé des éclaircissements, leur manque de franchise – bien que regrettable –...
Le requérant ayant introduit la requête devant le Tribunal près de deux mois après la mise en œuvre de la décision d'inclure son nom dans la base de données ClearCheck, la demande de sursis à statuer n'était donc pas recevable.
Le Tribunal a noté que l'ordonnance n° 20 (NBI/2024) dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 a rejeté la demande de suspension de l'action du requérant en vertu de l'art. 13 du règlement intérieur du Tribunal. Le requérant a soutenu que le Tribunal a mal interprété sa demande dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 comme étant déposée en vertu de l'art. 13 du Règlement intérieur de l'UNDT (régissant la suspension de l'action pendant une évaluation de la gestion), plutôt que de l'art. 14 (régissant la suspension de l'action pendant la procédure) de ces règles.
Le Tribunal a estimé que, dans la mesure...
Le Secrétaire général a fait appel de l'ordonnance UNDT. Unat a jugé que, lorsque la mise en œuvre d'une décision administrative est imminente, sans faute ni retard de la part du membre du personnel, et se déroule avant les cinq jours prévus en vertu de l'article 13 de UNT ROP s'est écoulé, et où undt n'est pas En mesure de prendre une décision en vertu de l'article 2. 2 de la loi UNDT, i. e. Parce qu'il nécessite plus d'informations ou de temps pour réfléchir à la question, il doit avoir le pouvoir discrétionnaire d'accorder une suspension de l'action pendant ces cinq jours. Pour trouver le...
Unat a considéré les trois appels du secrétaire général contre les ordonnances de l'UNDT. Unat a jugé que les appels étaient à recevoir parce que: (1) Undt a dépassé sa compétence en vertu de l'article 2. 2 du statut de l'UND en ordonnant la suspension de la décision contestée au-delà de la date d'achèvement de l'évaluation de la direction; et (2) UNDT a dépassé sa juridiction en vertu de l'article 10. 2 de la loi UNDT par ordonnance, au cours de la procédure, une suspension de la décision contestée en tant que mesure provisoire en cas de nomination. L'UNAT a jugé que l'ordonnance n ° 129 a...
UNAT a rejeté la demande d'audience orale ne trouvant pas la plus grande clarification des problèmes. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas identifié les motifs de son appel, considérant qu'il est défectueux. Unat a convenu avec Unrwa DT que l'appelant n'avait pas respecté la règle 111.3 du personnel, qui prescrit que le membre du personnel est tenu de faire appel au JAB dans les trente jours. Unat a jugé que la conclusion de l'UNRWA DT selon laquelle la demande n'était pas à recevoir ne présentait aucune erreur de droit ou de fait. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA...
Unat a considéré un appel de l'ordonnance n ° 079. Unat a jugé que, que l'UNDT ait commis une erreur de droit, de fait ou de procédure, l'article 2 (2) de la loi UNDT a empêché un appel à Unat si Undt a agi dans son juridiction ou compétence. Unat a jugé qu'Untt agissait dans sa juridiction ou sa compétence. Unat a jugé que l'appel n'était pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé l'ordonnance de l'UNT.
La décision contestée était prima facie illégale pour les raisons suivantes: i) Il y avait une promesse de renouvellement de la part de l'officier responsable qui a créé une attente légitime de renouvellement, qui a placé le défendeur à se demander si ce n'était pas dans le L'intérêt de l'organisation selon laquelle l'attente du renouvellement de l'emploi devrait être réalisée; et ii) la décision de ne pas renouveler le contrat du demandeur semblait être en violation des règles de l'organisation et équivalait à un abus de pouvoir discrétionnaire. Sur la question de l'urgence, le requérant...